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Alegría Gobeil 

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ALEGRIALGOBEIL
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I work with practices considered self-destructive, unproductive, unlivable, contagious and unsurvivable.

My indisciplinary practice always unfolds within the material, corporeal, and contextual constraints of its production. My methodology aims to thwart my emergence as a Subject, privileging quotation and opacification as techniques of diversion and multiplication. Recently, I've been busy diverting and rejecting anamnesis in order to rid myself of its mortifying injunction. My work has taken the form of protocols, exhibitions, performances, installations and written forms.

It has notably been presented by Sara’s/Dunkunsthalle (New York, US), L’Œil de poisson (Québec, CA), Verticale (Laval, CA), L’Imagier (Aylmer, CA), GNO + GNO (Sudbury/Montréal, CA), Le Lieu (Québec, CA), Gruentaler9 (Berlin, DE), Folie/Culture (Québec, CA), Centre Skol (Montréal, CA), Caravansérail (Rimouski, CA), and OFFTA (Montréal, CA). My texts have been published (Inter, Moebius, Cigale) and performed (Calliope, Port de tête la nuit, Festival de poésie de Montréal). The development of my first stage writing and directing project has benefited from a one-year residency at LA SERRE – art vivant (Montréal, CA), as well as at Voart (Val d’Or, CA) and Théâtre de la Vie (Brussels, BE).

I hold a master’s degree in visual and media arts from UQAM (2023), supported by the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada (SSHRC). My thesis, Dire vouloir se blesser : protocoles de compromission avec la psychiatrisation de l'auto-blessure dans une pratique de l'art performance, explores protocols of engagement with the psychiatrization of self-injury in a performance art practice. My research/practice is informed by anti-psychiatry, crazy, ill, anti-fascist and queer anti-assimilationnist perspectives

Je travaille avec des pratiques considérées comme autodestructives, improductives, invivables, contagieuses, insurvivables.

Ma pratique indisciplinaire se déploie toujours à même les contraintes matérielles, corporelles et contextuelles de sa production. Ma méthodologie vise à déjouer mon apparition en tant que Sujet, privilégiant la citation et l’opacification comme techniques de diversion et de démultiplication. Récemment, je m’affère à détourner et rejeter l’anamnèse pour me défaire de son injonction mortifère. Mon travail a pris la forme de protocoles, expositions, performances, installations et formes écrites.

Il a notamment été présenté par Sara’s/Dunkunsthalle (New York, US), L’Oeil de poisson (Québec, CA), Verticale (Laval, CA), L’Imagier (Aylmer, CA), GNO + GNO (Sudbury/Montréal, CA), Le Lieu (Québec, CA), Gruentaler9 (Berlin, DE), Folie/Culture (Québec, CA), Centre Skol (Montréal, CA), Caravansérail (Rimouski, CA) et OFFTA (Montréal, CA). J’ai publié (Inter, Moebius, Cigale) et lu (Calliope, Port de tête la nuit, Festival de poésie de Montréal). Le développement de mon premier projet d’écriture scénique et mise en scène a bénéficié d’une résidence d’un an à LA SERRE – art vivant (Montréal, CA), ainsi qu’à Voart (Val d’or, CA) et au Théâtre de la vie (Bruxelles, BE).

Je détiens une maîtrise en arts visuels et médiatiques (UQAM), avec soutien du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH). Mon mémoire s’intitule Dire vouloir se blesser : protocoles de compromission avec la psychiatrisation de l'auto-blessure dans une pratique de l'art performance (2023). Ma recherche/pratique s'appuie sur des perspectives anti-psychiatriques, folles, malades, antifascistes et queer anti-assimilationnistes.