Alegría Gobeil
I work with practices considered self-destructive, unproductive, unlivable, contagious and unsurvivable.
My indisciplinary practice always unfolds within the material, corporeal, and contextual constraints of its production. My methodology is based in performance art processes and aims to thwart my emergence as a Subject, privileging quotation and opacification as techniques of diversion and multiplication. Recently, I’ve been investigating the erotics of counter-anamnesis.
My indisciplinary practice always unfolds within the material, corporeal, and contextual constraints of its production. My methodology is based in performance art processes and aims to thwart my emergence as a Subject, privileging quotation and opacification as techniques of diversion and multiplication. Recently, I’ve been investigating the erotics of counter-anamnesis.
Je travaille avec des pratiques considérées comme autodestructrices, improductives, invivables, contagieuses et insurvivables.
Ma pratique indisciplinaire se déploie toujours dans les contraintes matérielles, corporelles et contextuelles de sa production. Ma méthodologie, ancrée dans les processus de l’art performance, vise à contrecarrer mon émergence en tant que Sujet, privilégiant la citation et l’opacification comme techniques de diversion et de multiplication. Récemment, j’explore plus spécifiquement l’érotique de la contre-anamnèse.
Ma pratique indisciplinaire se déploie toujours dans les contraintes matérielles, corporelles et contextuelles de sa production. Ma méthodologie, ancrée dans les processus de l’art performance, vise à contrecarrer mon émergence en tant que Sujet, privilégiant la citation et l’opacification comme techniques de diversion et de multiplication. Récemment, j’explore plus spécifiquement l’érotique de la contre-anamnèse.